dimanche 23 septembre 2012
DVD maintenant disponible
Le DVD " Mon Jardin d'Oiseaux" réalisé par mon ami André Boulianne bien connu pour sa série 1888 oiseaux est maintenant disponible pour la vente. Il est possible d'aller visionner la bande annonce en visitant le site: "Les Productions du Grand Fleuve" à :
http://www.passionnesdoiseaux.com/index.php?page=accueil
Ce DVD entièrement tourné au Jardin ailé est la réalisation de plus de 3 années de travail constant et de nombreux efforts pour capter des moments inédits et inconnus de la plupart des gens. André et moi sommes très fiers du résultat et nous sommes assurés que les gens le visionneront plusieurs fois. Ce DVD vous présente ma façon de faire avec les oiseaux et vous révèle une nouvelle facette de notre passion.
Le lancement aura lieu le 7 octobre lors de la fête des oiseaux migrateurs à l'étang Burbank de Danville. On retrouvera dès la mi-octobre ce DVD dans la majorité des librairies.
Bon visionnement
mercredi 19 septembre 2012
Je vous invite à la fête
Étant le responsable de la fête des oiseaux migrateurs j'ai investi beaucoup de temps à préparer notre 10ième anniversaire. Cet événement se déroulera les 6-7 et 8 octobre prochain et je vous invite à voir la programmation en allant sur le site de l'étang : http://etangburbank.ca/
Vous verrez que nous avons organisé une fête tout en grandeur avec de nombreux exposants et des conférenciers de marque. De plus le lancement du DVD "Mon jardin d'oiseaux" a été tourné en totalité au Jardin ailé et il sera en vente lors de cette fin de semaine. Les 70 minutes de visionnement vous en apprendront beaucoup et vous y trouverez des scènes époustouflantes et inédites.
Je vous invite personnellement à venir nous rendre visite à l'étang Burbank de Danville
Vous verrez que nous avons organisé une fête tout en grandeur avec de nombreux exposants et des conférenciers de marque. De plus le lancement du DVD "Mon jardin d'oiseaux" a été tourné en totalité au Jardin ailé et il sera en vente lors de cette fin de semaine. Les 70 minutes de visionnement vous en apprendront beaucoup et vous y trouverez des scènes époustouflantes et inédites.
Je vous invite personnellement à venir nous rendre visite à l'étang Burbank de Danville
lundi 3 septembre 2012
Septembre, une plaque tournante pour les oiseaux
Septembre nous apporte son lot de changements dans notre cour. Des espèces nous quittent et d'autres nous arrivent.
Voici quelques actions à considérer.
Les colibris sont à faire leur réserve pour entreprendre leur migration prochainement. Il faut donc voir à leur fournir le sirop nécessaire et à le maintenir en bonne condition. Il faut s'assurer que nos abreuvoirs contiennent toujours une quantité suffisante de sirop car les colibris se fient beaucoup sur cette source d'alimentation vu que les fleurs sont en diminution constante. Depuis quelques années, les températures de septembre sont relativement chaudes ce qui implique qu'il faut changer le sirop de nos abreuvoirs aux 2 ou 3 jours même à cette période-ci de l'année.
De plus, ne rangez pas trop vite vos abreuvoirs car le colibri profite de ces temps doux pour retarder son départ. L'an dernier, nous avons enregistré, au Jardin ailé, la présence de ceux-ci jusqu'au 22 septembre. Je vous recommande donc de laisser vos abreuvoirs jusqu'en octobre. Vous pouvez augmenter la concentration de votre sirop sans craindre d'affecter la santé de l'oiseau. Au contraire, il augmentera ses réserves plus rapidement.
Présentement, j'offre un mélange de 3 parties d'eau pour une partie de sucre.
Les Geais bleus reviennent en force s'alimenter assez gloutonnement à nos mangeoires. Ils commencent à engranger pour l'hiver. Il est temps de leur offrir une bonne quantité de graines. Ils préféreront, bien entendu, les arachides mais il peut devenir dispendieux de leur en offrir à volonté. Heureusement, ils adorent le maïs rond et à l'automne, on peut s'en procurer une bonne quantité pour un prix raisonnable. On peut l'offrir sur un plateau, en grain ou mieux encore sur l'épi. On aura ainsi le loisir de les voir travailler à arracher les grains et les emmagasiner dans leur jabot.
Comme le Geai bleu est un pilleur de nid, je cesse dès la fin de mars de l'attirer pour la saison estivale et c'est en début de septembre que je l'incite à nouveau à fréquenter notre jardin. Il devient alors rapidement un habitué quotidien même durant les plus grands froids d'hiver.
Si vous avez semez du tournesol, vous verrez présentement que les chardonnerets délaissent vos mangeoires pour s'alimenter davantage sur les plants de tournesol. J'ai remarqué qu'ils préfèrent davantage une graine encore laiteuse à une graine rendue à maturité. J'imagine qu'il est plus facile pour eux de décortiquer celles encore tendres. Si vous avez un petit coin disponible, tentez l'expérience l'an prochain en semant quelques graines de petit tournesol noir. Celles utilisées pour nourrir nos oiseaux a une très bonne germination et donne de très bons résultats.
Informations:
Le 12 septembre prochain, je donnerai une conférence à 19h30 au Pavillon Papineau
situé au 3235 boul. St-Martin Est Laval.
Le sujet: Les mangeoires et comment nourrir les oiseaux en demeurant aux oiseaux.
Le 15 septembre, je serai conférencier au COAQ (congrès des ornitholoques amateurs du Québec) à l'Hotel des Seigneurs à St-Hyacinthe.
Le sujet: La tombée des canards. Un prélude au DVD tourné au Jardin ailé et qui sera en vente dès le début d'octobre. Son lancement officiel sera le 7 octobre à la fête des oiseaux migrateurs qui se déroulera à l'étang Burbank de Danville.
Voici quelques actions à considérer.
Les colibris sont à faire leur réserve pour entreprendre leur migration prochainement. Il faut donc voir à leur fournir le sirop nécessaire et à le maintenir en bonne condition. Il faut s'assurer que nos abreuvoirs contiennent toujours une quantité suffisante de sirop car les colibris se fient beaucoup sur cette source d'alimentation vu que les fleurs sont en diminution constante. Depuis quelques années, les températures de septembre sont relativement chaudes ce qui implique qu'il faut changer le sirop de nos abreuvoirs aux 2 ou 3 jours même à cette période-ci de l'année.
De plus, ne rangez pas trop vite vos abreuvoirs car le colibri profite de ces temps doux pour retarder son départ. L'an dernier, nous avons enregistré, au Jardin ailé, la présence de ceux-ci jusqu'au 22 septembre. Je vous recommande donc de laisser vos abreuvoirs jusqu'en octobre. Vous pouvez augmenter la concentration de votre sirop sans craindre d'affecter la santé de l'oiseau. Au contraire, il augmentera ses réserves plus rapidement.
Présentement, j'offre un mélange de 3 parties d'eau pour une partie de sucre.
Les Geais bleus reviennent en force s'alimenter assez gloutonnement à nos mangeoires. Ils commencent à engranger pour l'hiver. Il est temps de leur offrir une bonne quantité de graines. Ils préféreront, bien entendu, les arachides mais il peut devenir dispendieux de leur en offrir à volonté. Heureusement, ils adorent le maïs rond et à l'automne, on peut s'en procurer une bonne quantité pour un prix raisonnable. On peut l'offrir sur un plateau, en grain ou mieux encore sur l'épi. On aura ainsi le loisir de les voir travailler à arracher les grains et les emmagasiner dans leur jabot.
Comme le Geai bleu est un pilleur de nid, je cesse dès la fin de mars de l'attirer pour la saison estivale et c'est en début de septembre que je l'incite à nouveau à fréquenter notre jardin. Il devient alors rapidement un habitué quotidien même durant les plus grands froids d'hiver.
Si vous avez semez du tournesol, vous verrez présentement que les chardonnerets délaissent vos mangeoires pour s'alimenter davantage sur les plants de tournesol. J'ai remarqué qu'ils préfèrent davantage une graine encore laiteuse à une graine rendue à maturité. J'imagine qu'il est plus facile pour eux de décortiquer celles encore tendres. Si vous avez un petit coin disponible, tentez l'expérience l'an prochain en semant quelques graines de petit tournesol noir. Celles utilisées pour nourrir nos oiseaux a une très bonne germination et donne de très bons résultats.
Informations:
Le 12 septembre prochain, je donnerai une conférence à 19h30 au Pavillon Papineau
situé au 3235 boul. St-Martin Est Laval.
Le sujet: Les mangeoires et comment nourrir les oiseaux en demeurant aux oiseaux.
Le 15 septembre, je serai conférencier au COAQ (congrès des ornitholoques amateurs du Québec) à l'Hotel des Seigneurs à St-Hyacinthe.
Le sujet: La tombée des canards. Un prélude au DVD tourné au Jardin ailé et qui sera en vente dès le début d'octobre. Son lancement officiel sera le 7 octobre à la fête des oiseaux migrateurs qui se déroulera à l'étang Burbank de Danville.
dimanche 19 août 2012
Un plumage bien particulier
Depuis trois jours, nous avons la visite d'un oiseau au plumage resplendissant.Il est d'une belle couleur caramel. Il fréquente nos mangeoires de sol avec les autres bruants. Ce n'est pas surprenant car c'est un Bruant familier dont le plumage souffre d'un manque de pigmentation. Ses congénères ne semblent apprécier sa présence car ils le chassent dès qu'ils l'aperçoivent. Là aussi ça ne me surprend pas car ces oiseaux sortant de l'ordinaire sont rarement tolérés par leur espèce. J'ai bien peur qu'il tombera sous les griffes d'un rapace car ce sont normalement des oiseaux très visibles et très attirants pour ceux-ci. On ne peut qu'espérer le voir encore très longtemps.
On voit très bien la différence avec un autre Bruant familier
jeudi 2 août 2012
Attention à vos mangeoires
Nous sommes à la période la plus critique de l'année pour voir les oiseaux à nos mangeoires développer des maladies. Avec les petits nouvellement éclos, le nombre d'oiseaux se côtoyant augmente beaucoup. Les contacts fréquents entre eux favorisent la transmission des virus et il s'agit d'un malade pour transmettre rapidement les germes à d'autres oiseaux créant ainsi un état de chaîne. La salmonellose est probablement la maladie qui fait le plus de ravage parmi nos oiseaux de mangeoires. La vigilance et la prévention s'imposent.
Il faut désinfecter hebdomadairement vos mangeoires. Un peu d'eau de javel dans un récipient d'eau où vous immergez vos mangeoires pendant une trentaine de minutes est probablement la façon la plus efficace de tuer les germes et maintenir la santé de vos oiseaux. Vous rincez ensuite vos mangeoires à l'eau et les laissez sécher avant de les remettre en circulation.
Évitez l'accumulation des graines au sol qui se mêlent aux fientes, source principale des maladies.
N'oubliez pas vos abreuvoirs. Il faut changer l'eau régulièrement et les désinfecter également.
Si vous apercevez un oiseau malade, il faut agir vite pour désinfecter mais de préférence, faites-le régulièrement et n'attendez pas qu'une épidémie s'installe dans votre cour. Si vous trouvez un oiseau mort, manipulez-le avec précaution en utilisant des gants.
Présentement, au Jardin ailé, les petits merlebleus de la femelle qui est à sa troisième nichée sont éclos. Les parents sont donc au travail pour apporter la nourriture nécessaire à ces 4 petits becs affamés. Ils ne prendront leur autonomie complète qu'en septembre.
Quant aux merlebleus de la première et deuxième nichée ainsi que ceux de l'autre femelle qui a fait également 2 nichées, les petits ne répondent plus à l'appel depuis une semaine. On les aperçoit à l'occasion venir visiter le plat de vers tôt en matinée pour disparaître le reste de la journée ou pour quelques jours.
Voici une photo de notre troisième nichée prise le 31 juillet.
Il faut désinfecter hebdomadairement vos mangeoires. Un peu d'eau de javel dans un récipient d'eau où vous immergez vos mangeoires pendant une trentaine de minutes est probablement la façon la plus efficace de tuer les germes et maintenir la santé de vos oiseaux. Vous rincez ensuite vos mangeoires à l'eau et les laissez sécher avant de les remettre en circulation.
Évitez l'accumulation des graines au sol qui se mêlent aux fientes, source principale des maladies.
N'oubliez pas vos abreuvoirs. Il faut changer l'eau régulièrement et les désinfecter également.
Si vous apercevez un oiseau malade, il faut agir vite pour désinfecter mais de préférence, faites-le régulièrement et n'attendez pas qu'une épidémie s'installe dans votre cour. Si vous trouvez un oiseau mort, manipulez-le avec précaution en utilisant des gants.
Présentement, au Jardin ailé, les petits merlebleus de la femelle qui est à sa troisième nichée sont éclos. Les parents sont donc au travail pour apporter la nourriture nécessaire à ces 4 petits becs affamés. Ils ne prendront leur autonomie complète qu'en septembre.
Quant aux merlebleus de la première et deuxième nichée ainsi que ceux de l'autre femelle qui a fait également 2 nichées, les petits ne répondent plus à l'appel depuis une semaine. On les aperçoit à l'occasion venir visiter le plat de vers tôt en matinée pour disparaître le reste de la journée ou pour quelques jours.
Voici une photo de notre troisième nichée prise le 31 juillet.
mercredi 18 juillet 2012
Troisième couvée d'une femelle merlebleu
Je suis allé aujourd'hui vérifier le nichoir de la femelle merlebleu que je soupçonnais de faire une troisième nichée. Il y avait bien 4 oeufs et selon nos registres, elle doit couver depuis environ 5 jours. Cette femelle a utilisé un nouveau nichoir à chaque couvée. Pour la troisième couvée elle s'est installée dans un nichoir avec double toit. Comme nous subissons des températures anormalement élevées ces derniers temps, je crois qu'elle ne regrettera pas son choix.
Voici une photo montrant les 4 oeufs et une photo montrant le nichoir.J'ai remarqué que trois oeufs étaient presque blancs alors que l'autre était bleu. Il semblerait que ce phénomène est assez fréquent chez les merlebleus.
Voici mainatenant quelques informations sur mes trois couples de Grands Harles qui se sont installés au Jardin ailé.
La premiere femelle a choisi un trou à plus de 18m dans un gros érable. Vu la hauteur, il m'était impossible d'aller installer une caméra en permanence mais j'ai réussi avec une caméra fixée au bout d'une perche à m'assurer de sa présence. Par la suite j'ai intallé un micro près du nid car je savais que dès l'éclosion la femelle jacasse. Malheureusement, une mauvaise connexion d'un joint occasionné probablement par le vent m'a induit en erreur et j'ai raté la sortie des canetons.
Ici la femelle sur son nid aperçu par la caméra au bout de la perche.
Pour la deuxième femelle, je me pose toujours des questions sur ses agissements. Elle a pondu 12 oeufs qu'elle n'a jamais couvés. Tous les matins, elle venait les retourner puis quittait le nid. Son manège a duré plus de 40 jours. Finalement elle a abandonné les oeufs. Elle s'est présentée à quelques reprises par la suite mais sans entrer au nid. C'est quoi le problème? Je soupçonne que les grands froids que nous avons eu en mai peuvent avoir tuer les embryons et la femelle n'a pas dépensé d'énergie à couver des oeufs qui n'écloraient pas.
Voici une photo des oeufs lors de la pause de la caméra. On constate qu'aucun duvet ne les recouvre ce qui est anormal chez les canards lorsque la femelle quitte le nid. On en compte bien 12
Voici une autre photo prise un mois plus tard. On constate qu'il n'y a plus que 11 oeufs.
Quand à la dernière femelle toute une réussite. 10 canetons bien rendus à l'étang Burbank
Voici quelques photos:
Le saut des petits
Le rassemblement au pied de l'érable avant le départ pour l'étang
La traversée de la route reliant Danville à Asbestos. Heureusement la circulation est limitée à 30km/h et les automobilistes sont coopératifs.
Enfin tous bien rendus à bon port.
Voilà un compte-rendu des 6 nichées de canards au Jardin ailé. Il faut toujours s'attendre à vivre des événements qui ne se déroulent pas nécessairement comme on le souhaiterait mais on peut ainsi extrapoler et comprendre pourquoi les femelles pondent autant d'oeufs. Combien de petits finalement prendront leur envol pour la migration?
Voici une photo montrant les 4 oeufs et une photo montrant le nichoir.J'ai remarqué que trois oeufs étaient presque blancs alors que l'autre était bleu. Il semblerait que ce phénomène est assez fréquent chez les merlebleus.
Voici mainatenant quelques informations sur mes trois couples de Grands Harles qui se sont installés au Jardin ailé.
La premiere femelle a choisi un trou à plus de 18m dans un gros érable. Vu la hauteur, il m'était impossible d'aller installer une caméra en permanence mais j'ai réussi avec une caméra fixée au bout d'une perche à m'assurer de sa présence. Par la suite j'ai intallé un micro près du nid car je savais que dès l'éclosion la femelle jacasse. Malheureusement, une mauvaise connexion d'un joint occasionné probablement par le vent m'a induit en erreur et j'ai raté la sortie des canetons.
Ici la femelle sur son nid aperçu par la caméra au bout de la perche.
Pour la deuxième femelle, je me pose toujours des questions sur ses agissements. Elle a pondu 12 oeufs qu'elle n'a jamais couvés. Tous les matins, elle venait les retourner puis quittait le nid. Son manège a duré plus de 40 jours. Finalement elle a abandonné les oeufs. Elle s'est présentée à quelques reprises par la suite mais sans entrer au nid. C'est quoi le problème? Je soupçonne que les grands froids que nous avons eu en mai peuvent avoir tuer les embryons et la femelle n'a pas dépensé d'énergie à couver des oeufs qui n'écloraient pas.
Voici une photo des oeufs lors de la pause de la caméra. On constate qu'aucun duvet ne les recouvre ce qui est anormal chez les canards lorsque la femelle quitte le nid. On en compte bien 12
Voici une autre photo prise un mois plus tard. On constate qu'il n'y a plus que 11 oeufs.
Quand à la dernière femelle toute une réussite. 10 canetons bien rendus à l'étang Burbank
Voici quelques photos:
Le saut des petits
Le rassemblement au pied de l'érable avant le départ pour l'étang
La traversée de la route reliant Danville à Asbestos. Heureusement la circulation est limitée à 30km/h et les automobilistes sont coopératifs.
Enfin tous bien rendus à bon port.
Voilà un compte-rendu des 6 nichées de canards au Jardin ailé. Il faut toujours s'attendre à vivre des événements qui ne se déroulent pas nécessairement comme on le souhaiterait mais on peut ainsi extrapoler et comprendre pourquoi les femelles pondent autant d'oeufs. Combien de petits finalement prendront leur envol pour la migration?
dimanche 15 juillet 2012
Ne rangez pas vos nichoirs trop rapidement
Présentement, au Jardin Ailé, une femelle Merlebleu a finalement décidé de s'aventurer pour une troisième couvée. Cinq petits de la première couvée avaient quitté le nid le 15 mai. Puis le 3 juillet ce sont 3 petits de la deuxième couvée qui ont quitté le nid. Le 11 juillet on constatait que la femelle avait refait un nouveau nid dans un nouveau nichoir pour une troisième couvée. Dans quelques jours j'irai vérifier s'il y a eu ponte mais j'aperçois régulièrement la femelle sortir du nichoir lorsque je l'appelle pour le "lunch". Nous avions déjà eu en 2010 une femelle Merlebleu qui avait également fait 3 couvées. Nous pensions que c'était exceptionnel mais l'histoire se répète à nouveau cette année.
Il ne faut donc jamais ranger ses nichoirs trop tôt et si on désire voir le troglodyte faire de nombreuses nichées, on prévoit donc le rangement des nichoirs pour septembre. Ici, comme nous ne tenons pas à une affluence de troglodytes, nous les rangeons en fin de juillet.
Voici maintenant un compte-rendu de mes 2 dernières nichées de Canards branchus. Le 8 juin 12 petits canetons et leur mère quittaient leur nichoir pour rejoindre à pied l'étang Burbank. Voici quelques photos de cet événement.
La femelle inspecte les lieux avant le signal du départ.
Quatre canetons s'apprêtent à se jeter dans le vide.
Voilà, il est temps de rejoindre maman en bas
Quant à troisième nichée, elle a été prédatée. Par contre la femelle a rescapé 3 oeufs et continué la couvaison. Toute cette histoire palpitante sera relatée dans un nouveau DVD qu'André Boulianne a bien voulu réaliser sur le Jardin ailé. Il sera en vente en tout début d'octobre et son lancement est prévu lors de la fête des oiseaux migrateurs à l'étang Burbank de Danville le 7 octobre.
Pour vous mettre l'eau à la bouche, je vous dévoile trois photos de cette couvée.
Comme le prédateur avait goûté au fruit défendu, il était plus que probable qu'il reviendrait détruire le reste de la couvée dans les prochains jours. Nous avons donc déployé un vaste système de protection. Il faut ajouter à tout ce système la radio et les ombres chinoises qui ne paraissent pas sur l'image.
Voici un des rescapés
Ici la mère et ses trois rejetons partant pour l'étang Burbank. Nous avions déroulé le tapis "vert" pour permettre une chute plus douce.
Pour terminer voici une photo montrant la différence entre un oeuf de Canard branchu et un de Grand Harle. Le plus gros (presque le double de l'autre) est bien entendu un oeuf de harle. Dans mon prochain message je vous parlerai de mes harles.
Il ne faut donc jamais ranger ses nichoirs trop tôt et si on désire voir le troglodyte faire de nombreuses nichées, on prévoit donc le rangement des nichoirs pour septembre. Ici, comme nous ne tenons pas à une affluence de troglodytes, nous les rangeons en fin de juillet.
Voici maintenant un compte-rendu de mes 2 dernières nichées de Canards branchus. Le 8 juin 12 petits canetons et leur mère quittaient leur nichoir pour rejoindre à pied l'étang Burbank. Voici quelques photos de cet événement.
La femelle inspecte les lieux avant le signal du départ.
Quatre canetons s'apprêtent à se jeter dans le vide.
Voilà, il est temps de rejoindre maman en bas
Quant à troisième nichée, elle a été prédatée. Par contre la femelle a rescapé 3 oeufs et continué la couvaison. Toute cette histoire palpitante sera relatée dans un nouveau DVD qu'André Boulianne a bien voulu réaliser sur le Jardin ailé. Il sera en vente en tout début d'octobre et son lancement est prévu lors de la fête des oiseaux migrateurs à l'étang Burbank de Danville le 7 octobre.
Pour vous mettre l'eau à la bouche, je vous dévoile trois photos de cette couvée.
Comme le prédateur avait goûté au fruit défendu, il était plus que probable qu'il reviendrait détruire le reste de la couvée dans les prochains jours. Nous avons donc déployé un vaste système de protection. Il faut ajouter à tout ce système la radio et les ombres chinoises qui ne paraissent pas sur l'image.
Voici un des rescapés
Ici la mère et ses trois rejetons partant pour l'étang Burbank. Nous avions déroulé le tapis "vert" pour permettre une chute plus douce.
Pour terminer voici une photo montrant la différence entre un oeuf de Canard branchu et un de Grand Harle. Le plus gros (presque le double de l'autre) est bien entendu un oeuf de harle. Dans mon prochain message je vous parlerai de mes harles.
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